mardi 5 février 2013

Les petits Gris, Roswell et Cie...


Les petits Gris, l'affaire Roswell...
canular ou réalité?


Tout d'abord, quelques définitions:

Extranéen (nom et adjectif):
Néologisme créé à partir du latin «extraneus» (étranger) et désignant tout être ou toute réalité qui n'appartient pas à la culture humaine. 
Aliénigène (nom et adjectif) :
Néologisme créé à partir du latin «alienigenus» (qui appartient à une autre race) et désignant tout être dont l'origine et le développement ne correspondent pas à ceux des races évolutionnaires de l'humanité terrestre.

À la question: «Sommes-nous seuls dans l'Univers?», où en sont les autorités de ce monde:

Si, comme nous le font croire les mass media, la presse, la science, et autres sources d'informations liées au système de renseignements actuels, les ovnis sont le produit de l'imagination débordante de  personnes exubérantes ou rêveuses, alors pourquoi existe-t-il des lois issues du Gouvernement Fédéral américain interdisant tout contact avec les ovnis? Pourquoi les contacts avec les extranéens sont-ils considérés comme un acte criminel passible d'une forte amende et d'une peine de prison ? Si les extra-terrestres ou aliénigènes (voir définition) n'existent pas, il n'y à donc pas à craindre qu'un citoyen quelconque en rencontre un !
«À la clause 14 de l'article 1211 du Code de Réglementation fédéral, adopté le 16 Juillet 1969, quatre jours avant le premier atterrissage lunaire de la mission Apollo 11, il est stipulé que tout citoyen contacté est automatiquement coupable et que son geste constitue un acte criminel passible d'un an de prison et de 5000 U.S.$ d'amende. L'administration de la N.A.S.A.  a plein pouvoir de déterminer, avec ou sans audience, si une personne a été "exposée" au phénomène et peut lui ordonner une quarantaine indéfinie, sous surveillance armée, qu'aucune cour de cassation ne peut abroger.»
En outre, l'article de loi JANAP-146 prévoit une peine d'emprisonnement de dix ans et une amende 10.000 U.S.$ si un employé gouvernemental faisait, sans autorisation, des déclarations publiques sur le phénomène ovni. L'Acte britannique sur les secrets officiels prescrit une sanction équivalente.»
Qu'avons-nous bien pu attirer sur notre planète qui soit si dangereux pour les citoyens de la terre que des lois fédérales soient nécessaires pour empêcher tout contact? Bien que certains aliénigènes soient fondamentalement bien intentionnés, il semble que ce ne soit pas le cas de tous!
Tout débute en 1947, lors de nombreuses chutes d'ovnis d'un genre particulier... (Il est intéressant de constater que l'on trouve des chutes de soucoupes volantes bien avant 1947, bien avant l'évènement de Roswell.)
"De Janvier 1947 à Décembre 1952, pas moins de 16 astronefs s'écrasèrent ou furent descendus, sans compter celui qui avait explosé dans les airs et dont rien n'avait pu être récupéré. L’on en retira  65 corps et un être vivant. Hormis l'appareil qui s'était désintégré dans l'atmosphère, treize de ces incidents se produisirent sur le territoire américain, dont l'un en Arizona, onze au Nouveau-Mexique et un au Névada. L'un des trois autres écrasements eut lieu en Norvège et deux au Mexique. Les apparitions se firent si nombreuses qu'il devint impossible de compter sur les services de renseignements existants pour effectuer une enquête sérieuse des témoignages probants ou démentir les affabulations.
Un appareil fut découvert, le 13 Février 1948, sur une mésa prés d'Aztec au Nouveau-Mexique et un autre le 25 Mars suivant dans le canyon Hart non loin de la même ville. Au total, 17 corps furent extraits des deux appareils en forme de disque d'un diamètre supérieur à 30 mètres. Mais l'élément le plus intrigant fut la découverte, à l'intérieur des deux astronefs, d'une importante banque d'organes, de toute évidence prélevés sur des êtres humains. Un sentiment de paranoïa s'empara rapidement de tous ceux qui étaient "dans le secret" quand ils comprirent qu'un démon venait de leur dévoiler sa face monstrueuse. Aussitôt, l'affaire fut classifiée  "plus qu'ultra secrète" et scellée dans un coffre de sûreté fermé à double tour. Même le projet Manhattan ne s'était pas vu imposer un tel silence pour sa sécurité. Ces évènements allaient constituer, par la suite, le secret le mieux gardé de toute l'Histoire de l'humanité.»
(Extrait de "Le gouvernement secret" par Milton William Cooper, aux Éditions Louise Courteau.)

Comment un tel évènement a-t-il bien pu se produire?
Il semble que la soif technologique de l'être humain de la terre ait attiré à soi une civilisation prônant le culte de l'ascension technologique au détriment de l'ascension spirituelle. C'est la Loi de l'attraction du genre semblable. L'être humain attire à lui ce qui correspond au genre fondamental de ce qu'il porte dans son for intérieur. Autrement dit, dans le langage populaire «Qui se ressemble s'assemble». Le culte de la technologie n'est-il pas de nos jours à son plus grand paroxysme?
Ces êtres à la peau grise sont identifiés comme ayant une apparence d'insectes. Celui qui aura visionné la vidéo concernant l'autopsie d'un corps de petit gris récupéré sur les lieux de l'écrasement saura que ces êtres ont la forme humaine : deux pieds, deux mains avec des doigts, une tête avec deux yeux, etc...
Dans la Création tous les êtres humains vivants, que ce soit sur la Terre ou sur d'autres planètes, ont la forme humaine.
Mais, en comparaison avec des corps humains plus développés, la petite taille de ces êtres à la peau grise et surtout la forme de leurs visages peuvent nous faire penser à certaines caractéristiques d'insectes. La cause de ces frappantes caractéristiques est simple: la dégénérescence spirituelle!
Voici un exemple de dégénérescence apparu sur notre planète au cours d'une époque où l'être humain de la terre était pourtant encore relié plus étroitement à la Lumière qu'aujourd'hui:
« Hjalfdar éprouvait une sensation d'abandon, et, à ce moment-là, c’était ce sentiment qui le dominait. Les êtres entéalliques aussi paraissaient le fuir. Cependant, son œil de Voyant aperçut une Lumière qui semblait brûler en son for intérieur et éclairer son âme. En apercevant cette Lumière, il oublia l'atmosphère oppressante qui l'environnait. Il s'unit de nouveau à la Vie lumineuse.
Enfin, une clarté glissa sur l'horizon. Les Sphères firent entendre leur mélodie, l'air fut agité comme par des myriades de poussières étincelantes. La lumière jaillit par-dessus les collines et, par vagues, soudainement, les rayons du Soleil inondèrent l'immensité des arbres. Des voix d'oiseaux se réveillèrent, un vent frais saisit les arbres endormis et les secoua.
L'on croyait assister à un concert d'orgues puissantes se répandant dans la solitude sylvestre qui s'éveillait. Il naissait bien loin ; l'on aurait dit que les rayons solaires eux-mêmes apportaient ce bruissement.
Les odeurs de la forêt s'élevaient, aromatiques et non plus enivrantes. À perte de vue, des volées d'oiseaux vigoureux au plumage multicolore passaient au-dessus des collines et se jetaient dans les cimes feuillues et ondoyantes.
Hjalfdar suivait avec surprise ce tableau, qui changeait d'une minute à l'autre. Les grognements et les cris avaient cessé. Les animaux semblaient écouter en silence l'agitation des oiseaux, qui, par contraste, était d'autant plus intense. Hjalfdar ne put s'empêcher de penser au piège découvert dans la cime de l'arbre.
Surpris et intéressé, il leva subitement la tête. Vers le Midi, au versant des plus hautes collines, une farouche agitation se dessinait dans les arbres, telle une horde lâchée là-haut, parcourant la forêt en une longue rangée.
Le mouvement houleux des cimes gris-argenté suivait une ligne qui approchait rapidement, et Hjalfdar se rendit compte qu'il était visé. Allait-il retrouver le chasseur qui, suivant son ancienne trace, s'acheminait vers le piège qu'il avait posé? Quel était donc cet être qui, avec la violence et la puissance de l'animal et l'astuce de l'homme, vivait dans la forêt?
L'agitation dans les cimes des arbres se rapprochait de plus en plus. Avec précaution, Hjalfdar descendit quelque peu pour pouvoir observer l'animal qui approchait. Ce qu'il vit le glaça de stupeur.
Était-ce un être humain? Un géant velu, un singe ou un démon?
Les bras longs, velus et musclés saisissant les branches, les faisaient fléchir, les brisaient, et ployaient les plus fortes cimes des arbres.
Subitement, il s'arrêta dans son élan farouche et leva un crâne puissant, entouré d'une chevelure hirsute. Deux petits yeux noirs et perçants, sournoisement brillants, jetèrent un sinistre regard à la ronde. Des oreilles humaines, petites et pointues, étaient attachées assez bas sur un grand crâne oblong. Une bouche géante, munie de crocs et ressemblant plutôt à une gueule protubérante, faisait suite à un nez aplati aux narines larges et reniflantes. Le crâne au front fuyant barré de nombreuses rides transversales s'encastrait puissamment, entre des épaules vigoureuses et velues, sur un cou trapu.
La nuque de l'homme des forêts était grosse et musclée; le corps, par contre, était élancé et nerveux et ses hautes jambes ressemblaient à de robustes colonnes. Pourtant, il ne se tenait pas droit, mais plutôt à la manière des singes, qui marchent parfois à quatre pattes.
La gueule hideuse poussa un rugissement: un avertissement pour ses compagnons et un défi lancé à l'ennemi! Mais où était l'ennemi? Il le flairait, mais ne le découvrait pas. L'irritation, la peur et la férocité lui conféraient un rayonnement semblable à celui du feu.
Hjalfdar n'avait encore jamais vu chose aussi lugubre.
L'animal flairait la chair et le sang. Ses yeux luisaient comme des braises. Il poussait des cris pénétrés d'ardeur belliqueuse et de soif de sang, mais, aveuglé, il couvrait d'une main velue ses yeux niais.
Hjalfdar émit des pensées défensives. Les irradiations puissantes de son esprit tombèrent comme des glaives, la bête courba l'échine. Alors, il aperçut une étincelle qui couvait dans ce corps, prête à s'éteindre, une étincelle en laquelle il crut reconnaître un genre-semblable. Comment était-ce possible? Hjalfdar s'effraya. Qu'avait-il de commun avec cet animal?
L'Étincelle d'Esprit, qui n'avait pas évolué, couvait dans ce réceptacle; loin de l'Entéallique, fermé au Spirituel, inerte et bestial, tel fut l'effet que produisit sur lui l'homme des forêts.
Hjalfdar était bouleversé. Il réfléchissait, il cherchait; il voulait aider, mais ne pouvait trouver aucune solution. Il voulait sauver, mais que voulait-il sauver? L'Étincelle issue de l'Origine spirituelle?
L'animal était enfermé dans un Cercle d'Activité entéallique, prisonnier de son attachement à la matière et à la paresse. Hébété, il suivait son instinct chasseur, reniflant le sang et se liant à la matérialité. Livré à ses instincts, il s'écartait de son Destin originel.
Le voisinage de Hjalfdar obligea l'homme des forêts à s'éloigner. Rageur, il leva la tête en montrant les dents, puis, la tête baissée, poursuivit en hâte la piste tracée la veille. Le sol résonnait sous le poids de ses larges pattes. Hjalfdar le suivit des yeux, réfléchissant à ce qu'il fallait faire.
Devait-il libérer l'Étincelle avant qu'elle ne meure? Un immense désir et une étrange inquiétude le saisirent. La même ardeur belliqueuse s'était emparée de lui, lorsqu'il avait affronté les animaux sauvages, l'ours et la grande baleine! L'anéantissement! Était-ce nécessaire? Devait-il libérer l'Étincelle mourante?
Une indescriptible impatience d'agir le saisit et le désir de ne pas abandonner la poursuite de l'animal.
Une heure s'était peut-être écoulée, lorsque l'homme des forêts revint. Poussé par une inexplicable contrainte, Hjalfdar poursuivit de nouveau sa trace.
"Hjalfdar, Tu vas voir la triste histoire d'une décadence", dit une voix.  "Bientôt, Tu seras conduit au royaume des dégénérés, avant que leur fin ne s'accomplisse."
De nouveau, les entéaux entouraient Hjalfdar. Pourtant, il demeurait indécis. Devait-il poursuivre seul son chemin dans ce pays sauvage? Mais il devait jeter un regard sur la vie de ces animaux! Ils avaient accueilli le Germe d'Esprit, la brillante Étincelle, dans un réceptacle fin-matériel alors à son apogée et capable de le recevoir en Pureté, mais ne l'avaient pas maintenu, dans leur vie instinctuelle, à sa hauteur initiale. Les enveloppes étaient devenues plus denses, plus abruties, plus ternes, et le corps n'avait pas évolué vers la qualité humaine; il était, au contraire, retombé dans l'animalité originelle.
Les Guides entéalliques lui firent éprouver ce processus en images. Et il sut que cela s'était passé ainsi.
Y avait-il encore beaucoup d'hommes des forêts et comment vivaient-ils? Hjalfdar refoula ses hésitations premières. Sachant qu'il restait en étroite liaison avec tous les Aides, il se laissa aller dans la direction indiquée par son vouloir.
Il ne pensait plus à ses compagnons, car il n'était pas seul. Il se laissa glisser le long de l'arbre et suivit l'ancienne trace de l'habitant des forêts.
Il faisait encore jour, lorsque, après une heure, il parvint au sommet. À travers les rangées d'arbres plus clairsemés, il regarda la pente douce des immenses forêts qu'il venait de traverser.
Une étroite vallée latérale l'attira fortement. Il y trouva des formations rocheuses scintillantes, amoncelées en blocs tels qu'il n'en avait encore jamais vu de semblables. La petite vallée s'élargissait vers le haut et était fermée par une grande cascade. Vers l'avant, elle était bordée de blocs de rochers et d'arbres entassés. Hjalfdar crut y reconnaître une construction.
"Ce n'est pas la Nature qui a édifié cela" se dit-il en secouant sa chevelure blonde, qui tranchait singulièrement avec son visage bruni.
Ce n'était pas non plus une œuvre humaine. L'ensemble était trop grossier pour cela, trop sauvage, et ressemblait à un château-fort.
Mais que signifiait ce bruit?
Un mouvement se dessina derrière les murs et les brèches. Des peaux hirsutes regardaient par-dessus les murs de défense fort irréguliers. Dans quel but les avait-on construits?
Une voix lui dit: "Ce sont les demeures des hommes des forêts.  Leurs ennemis, les dragons et les oiseaux géants, ne sont pas loin d'ici."
"Et quelle est cette puissante figure, claire et transparente, dont l'énorme tête semble sortir des nuages pour regarder par-dessus les collines?"
"C'est l'un des géants qui surveillent la vallée. Leur colère s'adresse depuis longtemps à l'homme des forêts, qui mène une vie affreuse et sanguinaire.
Il détruit les terres, il chasse les oiseaux et, dans l'essor de la Création, c'est un mort. Comme tout ce qui est inanimé et faible, ces hommes des forêts dégénérés s'acheminent vers leur destruction."
Hjalfdar n'avait pas besoin de voir ses Guides, il les connaissait et leur Enseignement résonnait en son for intérieur comme un Savoir solidement établi, de sorte qu'il ne posait jamais de question et ignorait les "si" et les "mais".
Les Instants où, par l'intermédiaire de Sa Création, l'Éternel lui parlait d'une aussi vivante manière lui étaient sacrés.
"Tu vois", reprit la voix en lui, "en ce lieu également, une puissante Aide est prête à Te répondre. Tu obtiendras, un jour, la liaison avec les géants, elle sera importante pour Toi, car les géants sont purs et fidèles."
Des Courants de Lumière pénétraient Hjalfdar. Il les ressentait et apercevait déjà à l'état naissant les images de l'Aide qui affluaient vers lui.
Il remarqua une forte nervosité dans la vallée, où tout élément vivant semblait avoir été expulsé, à l'exception des gigantesques hommes des forêts.
Ils avaient certainement déjà flairé la présence étrangère, car leurs chevelures hirsutes se hérissaient et des têtes se levaient, par-ci par-là, derrière les murs. Hjalfdar se mit à couvert. En effet, ses cheveux clairs luisaient au Soleil et l'auraient facilement trahi. Il dut se cacher à l'ombre, derrière des rochers de plus en plus élevés.
Il se faufila ainsi en montant le long du versant de la vallée, espérant obtenir une vue plongeante sur le domaine des hommes de la forêt. Son étendue le surprit, et, plus encore, la constatation que les murs avaient été élevés en carré comme de hautes maisons sans toiture et semblaient descendre profondément sous terre. Des couloirs reliaient les différentes demeures. L'ensemble laissait supposer que les animaux les avaient construites selon un plan très habile. La construction centrale était gigantesque; une vie des plus actives semblait y régner.
Là, sur un siège surélevé, un homme des forêts, âgé, était assis.  Ceux qui l'entouraient poussaient de violentes clameurs, semblables à des rugissements; c'était là leur façon d'approuver les paroles prononcées par le vieux. Par des gestes vifs, les géants velus se comprenaient comme des êtres humains. Mais leur comportement tout entier, leurs expressions, leurs gestes étaient laids, féroces, répugnants, presque terrifiants.
D'ordinaire, Hjalfdar comprenait facilement le langage des animaux. Mais ces manifestations d'excitation étaient un mélange tellement prononcé de semi-conscience et de sentiment qu'une Intuition pure ne lui permettait plus de les comprendre.
Des ombres troubles passaient, telles des voiles, dans les cours des hommes-singes. Elles émanaient du crâne de ces animaux et planaient sur les têtes courbées. S'ils parlaient de chasse et de nourriture, leurs gueules hideuses grimaçaient; ils criaient, ricanaient, tandis que leurs yeux jetaient une lueur rouge.
Un groupe de ces hommes des forêts montai{en}t des profondeurs de la vallée avec leur butin. Ils portaient des morts sur leurs épaules et se lamentaient; ils hurlaient, ils faisaient des gestes menaçants vers la forêt.
C'est alors qu'accoururent au trot des femelles qui, quoique plus petites, n'étaient guère plus belles que les mâles. Leurs cheveux étaient plus longs et plus clairs, les yeux aussi étaient plus clairs. Elles paraissaient plus taciturnes, mais pas plus douces. Au contraire, leurs yeux brillaient de cruauté en apercevant un animal, qui excitait leur soif de sang ou leur envie de plumes multicolores.
Elles s'affublaient de tout ce que la Nature, elle-même sombre en ces lieux, leur offrait en couleurs et beauté. Le désir de se parer de façon exagérée leur semblait inné.
L'odeur du sang et une émanation rouge vacillante dominaient le cercle des nouveaux arrivants. Le vacarme s'accentuait. Une sorte de danse fut exécutée autour des morts. Les habitant{e}s femelles des forêts assistaient, en hurlant, à cette scène.
Hjalfdar n'avait jamais encore été saisi d'un tel dégoût comme {il l'était} à la vue de cette foule abrutie. Il reconnaissait que cette espèce n'avait pas le droit de se reproduire: elle ne devait pas troubler les plans de la matière fine par l'irradiation de ses vils instincts.
Quelque chose, de nouveau, s'éveilla en l'âme de Hjalfdar grâce à la rencontre avec cette tribu d'hommes sylvestres, jadis certainement plus élevés et qui avaient sombré au point que lui-même ne pouvait plus les dominer par ses pensées et son Amour, comme il le faisait pour les animaux les plus sauvages. Une horreur mêlée de dégoût le gagnait de plus en plus.
"La quantité de graines brillantes que ces animaux ont cachées dans leur repaire est énorme; elles vous serviront pour décorer la Salle dorée de l'Éternel", chuchota une voix au-dessus de Hjalfdar. "Lorsque le Soleil déclinera et que tous iront s'abreuver vers le couchant, Tu pourras y aller facilement. Ils seront absents quelque temps, alors nous Te conduirons."
Avec Joie, Hjalfdar reconnut l'animation qui l'entourait. Des gnomes s'associaient aux êtres aériens qui, en chuchotant, lui avaient promis Secours et Guidance.
Dès que le Soleil fut couché derrière les collines, tous se mirent en route en formant une longue chaîne. À perte de vue, une colonne d'hommes-singes trottai{en}t vers le fond de la vallée en grognant, en crachant, répandant une terrible puanteur.
Aucun ne resta en arrière, tous voulaient se désaltérer au ruisseau.
Hjalfdar quitta son poste de guet et, suivi et protégé par l'escorte de ses amis entéalliques, il se glissa à l'intérieur du repaire des hommes des forêts.
Plus il s'approchait des murs bruts et rudimentaires, déjà partiellement couverts de mousse et de plantes grimpantes, plus ceux-ci semblaient élevés et menaçants. L'émanation de l'animalité l'entourait toujours plus étroitement, il la ressentait comme une oppression. Ces êtres totalement dégénérés, qui portaient, eux aussi, la flamme de l'esprit, lui étaient exécrables.
Cela se manifestait par un malaise gros-matériel. Sans faire de bruit courbé, il se faufila à l'ombre des murs et traversa une ouverture haute et sombre. Il parvint à une sorte d'entrée à ciel ouvert, constituée uniquement de murs latéraux. Cela sentait la viande putréfiée. Son pied heurta des os et des squelettes innombrables, éparpillés alentour.
Une sorte de petite cour accueillit Hjalfdar. Des murs la cernaient. À l'extrémité inférieure se trouvait l'entrée de la maison du grand homme des forêts. L'on se serait cru dans un abattoir.
Mais il y avait aussi des traces indiquant que, jadis, un meilleur esprit avait régné entre ces murs. La tentative d'orner les murs et les colonnes de sculptures était évidente. Des morceaux de troncs d'arbres géants y étaient dispersés. Ils portaient des visages bizarres, ressemblant à des masques. Des plumes fixées à des perches descendaient des murs et des colonnes.
Mais cette faible tentative d'embellir l'endroit était annihilée par la saleté qui s'étendait partout. Des massues géantes étaient disposées aux coins des pièces, apparemment les armes de chasse de ces animaux.
Ceci semblait être le lieu de réunion du peuple des forêts. Des portes menaient de tous côtés dans les pièces annexes. C'était là qu'ils dormaient, qu'ils habitaient.
Un ancien emplacement effrité témoignait d'un lieu de culte. Des os et de grosses pierres peintes de sang étaient posés sur de petits monticules sur une petite colline. C'était la chambre funéraire, où reposaient les ancêtres des hommes des forêts. C'était le seul endroit, en ce lieu, d'où émanait une sorte de paix.
Hjalfdar, pâle et bouleversé, avait l'air grave et songeur. Il lui semblait avoir vu la laideur, pour la première fois sur cette magnifique Terre. Un frisson secoua son corps.
Des petits gnomes se serrèrent alors à ses pieds. Ils regardaient toutes les fentes et crevasses des murs, dans tous les coins et recoins.
Beaucoup d'entre eux se bouchaient leur petit nez comme si l'odeur était fort désagréable. Hjalfdar remarqua leur comportement et les observa tranquillement, dans l'expectative. Il ne fallait pas qu'il ait d'idée personnelle. Il fallait écarter l'impression produite par la grisaille ambiante et, sans désir, intention ou direction, régler son état d'esprit uniquement sur ces petits êtres entéalliques.
Et un courant prit naissance entre lui et eux, courant qu'il ressentit rapidement. Il s'en réjouit et reconnut leur intention. Il s'agenouilla et souleva une grande pierre. Alors, il vit un long et profond couloir qui se prolongeait sous les maisons. Il y descendit aussitôt, en prenant soin de reboucher l'entrée.
Sous terre existaient des couloirs semblables à des cavernes aux nombreux embranchements menant au loin. Chacun conduisait vers une excavation renfermant une multitude de petites paillettes jaune-or très pures, tellement fines qu'un courant d'air faible en soulevait déjà une partie comme des grains de poussière ou des flocons.
Pourquoi les animaux en avaient-ils amassé une si grande quantité? Pourquoi y avaient-ils trouvé tant de plaisir? Peut-être se réjouissaient-ils de leur éclat. Hjalfdar y plongea les mains. Le contact était doux et frais et il en émanait, malgré cela, la chaleur du Soleil et la lumière.
Alors, il entendit une Voix:
"Tu Te réjouiras de la beauté des grains d'Or, Hjalfdar, lorsque Tu les verras briller au Soleil. Les grandes eaux les ont charriées depuis les bancs de sable et les ont déposés dans les profondeurs. C'est là que les hommes des forêts les ont jadis trouvés, lorsque la Joie de ce qui est beau les comblait encore, le Beau auquel ils devaient, pour évoluer, aspirer avec zèle.
Ceci se passait il y a bien longtemps. Leur tribu était bien plus grande et plus étendue. Elle dépassait cette vallée. Mais ils devinrent frivoles, épris de jouissance et ils gaspillèrent le temps destiné à leur Évolution.
Ils développèrent leurs instincts charnels plus que la Nostalgie de la conscience naissante. C'est ainsi que survinrent la stagnation et une courte vie plus terne dans des corps épaissis. Puis l'hébétude gagna les animaux.
Ils conservèrent tout ce que, dans leur besoin d'activité, initiale, ils avaient créé; ils le défendirent contre les dangers et, dans leur orgueil de possession, ils se reposèrent sur ce trésor, qu'ils n'apprécièrent bientôt plus que pour son éclat et sa rareté. Ils s'endormirent ainsi sur leur trésor."
Hjalfdar regardait l'Or d'un air gravement songeur, presque avec tristesse.
"Je préfère ne pas y toucher, s'il exerce un effet maléfique" fut sa première idée.
Mais alors, la Voix claire reprit:
"Il n'est pas un ennemi, quand il sert un être puissant. L'homme doit l'utiliser dans l'Effort et l'Activité pour ce qui est beau, alors il lui est favorable. Son poids pesant n'accable que le paresseux. Il est pur, né de la puissance de l'Action entéallique, il est digne d'embellir la Patrie lumineuse des Ases. C'est à cet effet que les Lumineux Te le montrent. Hjalfdar, agis, comme jusqu'ici, selon la Volonté de l'Éternel!"
Les petits gnomes revinrent alors, en s'affairant par-ci par-là, de manière turbulente. Ils le tirèrent par la fourrure vers la prochaine sortie qui, par un couloir sombre, se perdait dans la forêt. Il était grand temps, car les hommes des forêts revenaient du point d'eau; ils hésitaient déjà de loin.
Le flair de ces animaux était subtil, ils sentaient la proximité de l'étranger. Ils remarquèrent aussi le délicat voile étincelant que les Lumineux avaient tendu autour de leur demeure pour protéger Hjalfdar. Ils s'arrêtèrent et tinrent conseil. La délibération se transforma en clameurs.
Une partie des hommes des forêts partirent dans les bois, mais la plupart rentrèrent dans leur demeure. Entre temps, l'enveloppe lumineuse qui entourait le repaire s'était dissipée et les animaux purent rentrer sans rencontrer d'obstacles. Mais ils étaient très excités.
Hjalfdar monta tranquillement vers le sommet du pays vallonné. Il voulait voir la vallée d'en haut et jeter un coup d'œil de l'autre côté. Mais la chute d'eau au sujet de laquelle il avait appris tant de merveilles l'attirait également. Il voulait voir le fond d'où l'Or était sorti. Mais une Guidance lumineuse l'incita à s'élever encore et à contourner les forêts, domaine des hommes primitifs. Car, en bas, se manifestaient une grande irritation et une ardeur belliqueuse. Les animaux poussaient des cris féroces. Ils se lançaient des ordres et se plaçaient à leurs postes. Ils se sentaient obligés de se défendre. »
Ouvrage disponible en cliquant sur ce lien: Ephésus.

Effectivement, la forme humaine doit être développée jusqu'à son plus haut degré d'ennoblissement pour qu'elle soit définitivement acquise; et cela grâce à l'activité de l'esprit. Or ces êtres à la peau grise ont développé le culte de la technologie au détriment de leur évolution spirituelle, il est donc normal que leurs apparences aussi aient pris la forme correspondante à leur degré d'évolution, la vanité nous rendant bien moins utile dans la création que les insectes.
Certains extranéens, comme nous le verrons plus bas, sont parvenus à un haut degré spirituel et technologique en même temps, leur apparence noble d'une forme humaine gracieuse montre chez eux leur haute conscience de la spiritualité.
Un choix, une décision primordiale pour l'avenir de l'Humanité.
La Lumière nous tend la main par le biais d'aliénigènes, eux, bien intentionnés.
Comme à chaque proposition d'Aide de la Lumière, l'humanité doit se décider: pour ou contre.
Eisenhower, président des États-Unis, responsable dirigeant, dut prendre une décision majeure pour les États-Unis et, par répercussion, pour l'ensemble de la planète.
Et, encore une fois, c'est la partie sombre de l'individu qui l'emporte...

Extrait n°2 de "Le gouvernement secret":
«Entre temps, des extranéens d'une autre race - d'apparence humaine celle-là - avaient pris contact avec le gouvernement américain pour le mettre en garde contre les initiatives de ces nouveaux arrivants. Quant à eux, ils lui avaient plutôt offert d'aider l'humanité dans son développement spirituel, mais, pour ce faire, ils avaient exigé du gouvernement qu'il commençât par démanteler son arsenal nucléaire. Ils avaient en outre refusé tout marchandage technologique avec lui en raison de l'immaturité morale dont nous faisions manifestement preuve à l'égard des inventions que nous possédions déjà, puisque nous ne cherchions toujours à nous en servir que pour détruire. À les croire, nous avancions à grand pas vers notre propre destruction et il était temps que nous cessions de nous entre-tuer, de polluer notre planète et d'en dilapider les richesses naturelles. Au contraire, il était urgent que nous apprenions à vivre en harmonie les uns avec les autres.
C'est avec une extrême suspicion que les gouvernants avaient daigné écouter ces conditions, spécialement celle qui concernait le désarmement nucléaire, car, dussent-ils s'y résoudre, ils craignaient de se retrouver démunis face à une éventuelle attaque extranéenne. D'un autre côté, leur décision avait été d'autant plus difficile à prendre qu'ils ne pouvaient s'appuyer sur aucun précédent historique. En fin de compte, ils avaient estimé que le désarmement nucléaire ne constituait pas une solution favorable. Aussi, dans le plus grand intérêt des États-Unis, avaient-ils rejeté ces ouvertures de conciliation.
Ils avaient donc préféré négocier avec ceux qui attendaient en orbite autour de la Terre, des êtres avec la peau grise et la bouche en forme de museau qui allaient finalement poser leurs astronefs à la base aérienne d'Holloman un peu plus tard au cours de l'année 1954. Ces aliénigènes prétendaient venir d'une planète située dans le système de la constellation d'Orion dont le soleil correspond à l'étoile rouge que nous désignons sous le nom de Bételgeuse. Ils affirmaient que leur planète était à l'agonie et que dans un avenir plus ou moins rapproché, elle allait devenir impropre à la survie.»

La naissance d'un accord secret entre le gouvernement américain  et les petits Gris

La tentation d'accéder à une technologie hyper-avancée sans devoir se défaire des armes nucléaires fût si forte, que le traité avec les petits Gris devint une "rencontre de troisième type" telle que Steven Spielberg, dans son film, nous la décrit. D'ailleurs, ce film fut un outil pour préparer l'opinion publique plus qu'un film de science-fiction, puisqu'un agent de la CIA était présent sur le plateau afin de donner des directives sur la mise en forme de certains aspects du film.
Mais de quel genre de marchandage ce pacte est-il fait?

Extrait n°3:
«Le président Eisenhower rencontra donc personnellement les aliénigènes et un pacte officiel fut signé par les deux chefs d'États au nom de leurs nations respectives. L'entente stipulait qu'aucune des deux parties ne devait s'immiscer dans les affaires de l'autre. En échange de notre engagement à préserver le secret de leur présence, ils étaient prêts à nous fournir de la technologie de pointe et à aider à l'avancement de notre science. Ils ne signeraient de traités avec aucune autre nation terrestre. Sur une base périodique et limitée, Ils pourraient enlever des être humains pour des raisons de recherche médicale et d'étude de notre développement, à la condition expresse que ces sujets ne souffrent d'aucun préjudice et soient ramenés à leur point d'enlèvement sans garder le moindre souvenir de ces incidents. De plus, selon un calendrier fixe, les responsables extranéens  devraient fournir à MJ-12 une liste de toutes les personnes contactées et ou kidnappées. Il fut convenu que chacune des deux races désignerait un ambassadeur pour résider à demeure dans l'autre nation aussi longtemps que le traité serait en vigueur. En outre, l'on se mit d'accord pour procéder à des échanges culturels par le biais de stages d'études. Ainsi, pendant que seize "stagiaires étrangers" feraient leur apprentissage sur la Terre, seize des nôtres seraient en visite sur leur planète avant d'être relayés par un nouveau groupe au bout d'un certain temps. L’on accepta aussi de construire, à l'usage des aliénigènes, des bases souterraines dont deux serviraient à des recherches conjointes et à des échanges de technologie. Ces bases extranéennes seraient construites sur des réserves indiennes aux quatre coins de l'Utah, du Colorado, du Nouveau-Mexique et de l'Arizona.»
("Le gouvernement secret" de Milton William Cooper)

Ces êtres s'en tiennent-ils à l'accord conclu?

"Dés 1955 il devint évident que les aliénigènes avaient abusé de la confiance d'Eisenhower et ne respectaient pas leur traité. L’on fit la macabre découverte, à travers tout le territoire américain, de cadavres mutilés non seulement d'animaux mais aussi d'êtres humains. L’on se mit alors à fomenter de sérieux doutes sur l'intégralité des listes que les aliénigènes s'étaient engagés à soumettre à MJ-12. Comment, dés lors, ne pas supposer le pire en ce qui avait trait aux kidnappings et comment ne pas les soupçonner d'avoir engagé des relations diplomatiques avec d'autres pays? Or ces soupçons s'avérèrent fondés dans le cas de l'URSS.
De plus, l’on découvrit que les aliénigènes exerçaient un contrôle sur les masses par le biais de sociétés secrètes ainsi que par le truchement de la sorcellerie, de la magie, de l'occultisme et de la religion. En guise de représailles, l'Aviation militaire s'engagea dans de nombreux combats aériens, mais elle dut baisser pavillon devant la supériorité tactique des escadrilles extranéennes.»
Ces individus d'une autre planète  sont décrits, par certains, comme des êtres d'intellect, froid et sans émotion. Ils ont atteint un niveau technologique puissant. Bien qu'ils aient des connaissances spirituelles certaines, ils n'ont apparemment pas poursuivi leur évolution dans le sens favorable qu'implique la connaissance de telles notions. La vénération de la science les a menés sur la voie de la dégénérescence et de la chute spirituelle de leurs civilisations. La conséquence au niveau des lois de la nature en est leurs grandes difficultés à pouvoir se reproduire, il semblerait qu'ils aient besoin de se ravitailler chez nous en récoltant des enzymes, du sang et autres tissus[1] pour leur besoin personnels de survie.
Le Docteur Michael Wolf-Kruvant dit avoir travaillé durant 25 ans dans les bases souterraines avec différentes races d'aliénigènes, en particulier les petits Gris. Il se dégage de son témoignage une grande authenticité qui inspire le respect et le souci d'examiner plus attentivement les révélations qui y sont faites. Voici un extrait de son expérience auprès d'eux:
«Il existe différents types de "Gris". Il en a côtoyé de très évolués qui contrairement à l'opinion courante, possédaient des personnalités et même un sens de l'humour. Le Docteur Wolf n'a jamais rencontré de Gris qu'il n'aimait pas. À son avis, ils faisaient tous partie d'une grande famille et aimaient câliner les humains. Mais cette marque d'affection ne faisait pas l'unanimité chez ses pairs. L'un de ses collègues les appelait des baise-joux (« kissey facey »). Leurs corps sont doux au toucher, telle la peau d'un dauphin. Il communiquait avec eux par télépathie et s'était tout particulièrement lié d'amitié avec une entité nommée Kolta. La photo de ce Gris apparaît sur la couverture de son livre. Elle fut prise par un ami occupant les fonctions d'amiral dans la Marine.»
Voici donc un autre son de cloche qui nous pose question. Est-ce les mêmes qui sont les auteurs d'enlèvements et d'interventions quasi-chirurgicales sur les humains de cette Terre? Bien entendu, le Dr Wolf avait une relation professionnelle, scientifique avec eux et ne servait pas de sujet d'expérimentation médicale comme d'autres. On peut aussi considérer que tous les petits Gris n'ont pas la même attitude et soient, tout comme le genre humain, très diversifiés dans leurs comportements. Autrement dit, il y a des bons et des mauvais!
Nous nous abstiendrons ici de faire des conclusions trop hâtives, car nous ne pouvons qu'essayer de nous efforcer de discerner une réalité qui émerge très progressivement pour l'humanité, par le biais de divers témoignages d'expériences vécues. Il appartient au lecteur d'utiliser son intuition afin de se forger sa propre conviction.
L'objectif de cette étude est de fournir au chercheur des informations qui lui donnent un support de réflexions pour devenir plus conscient que des événements se tramant à son insu.
Nous ne pouvons occulter des faits réels et l'expérience faite par notre prochain, car chaque réalité que nous négligeons de vérifier par nous-mêmes, un jour, se retourne amèrement contre nous. La réalité est inexorable et la paresse d'esprit nous met en danger. 
Tout ce qui est nuisible dans la Création n'à pas de justification. Il semblerait que cette civilisation soit naturellement vouée à disparaître. En attendant bien des êtres humains de cette Terre deviennent  victimes de ces extranéens mal intentionnés, qui, pour leur survie, n'hésitent pas à se servir, sur Terre, d'animaux ou d'individus constituants leurs besoins expérimentaux!
Les cas de disparitions et de mutilations sont bien plus fréquents que l'on ne le pense.  

L'un des secrets le mieux gardés de ce monde

Certains présidents américains, après Eisenhower, ont été mis au courant de ce problème des extranéens.  L'allusion de Ronald Reagan dans ses discours ci-dessous met en évidence - à vous de juger - la claire conscience de ce président du problème extranéen :
«Voici un extrait particulièrement intéressant d'une allocution que le président Reagan a livrée aux étudiants de l'école secondaire de Fallston, au Maryland, le 4 Décembre 1985:
"Un jour que je m'entretenais en privé avec le secrétaire général d'U.R.S.S., Monsieur Gorbatchev, je n'ai pu m'empêcher de lui dire – songeant, tout à coup, que nous sommes tous des enfants de Dieu, peu importe où nous sommes nés et où nous vivons - combien faciles seraient sa tâche et la mienne, lors d'une rencontre comme celle-là, si notre monde se trouvait subitement menacé par quelque espèce provenant d'une autre planète de l'univers. Nous ferions aussitôt fi des petits différents locaux qui opposent nos pays et nous comprendrions enfin une fois pour toutes que nous appartenons vraiment, tous ensemble, ici-bas sur Terre, à une seule et même humanité! Or je ne crois pas qu'il nous faille attendre l'arrivée d'aliénigènes menaçants..." 
Et encore ce discours fait à la 42ème Assemblée générale des Nations Unies, le 21 Septembre 1987:
«Nous sommes tellement obsédés par nos antagonismes du moment que nous ne songeons presque jamais aux puissants liens qui unissent tous les membres de l'humanité. Peut-être y penserions-nous davantage si nous étions exposés à une menace extra-terrestre. Il m'arrive, à l'occasion, de méditer là-dessus et de contempler avec quelle promptitude nous mettrions fin à nos conflits internationaux pour défendre notre existence face à un ennemi commun. Or, je vous demande un peu, cette force étrangère n'est-elle pas déjà infiltrée parmi nous? Y'a t-il rien de plus étranger, en effet, aux aspirations universelles de nos peuples que la guerre et la menace qu'elle représente pour la survie même de l'humanité?...» 
Afin de percevoir les grands traits de cette affaire nous ne pouvons faire l'impasse sur le fait de révéler la base fondamentale sur laquelle a été constituée la C.I.A, quel est l'événement qui a pu faire naître la C.I.A:
«Durant ces premières années, l'Armée de l'Air des États-Unis et la C.I.A exerçaient un contrôle absolu sur le secret de cette affaire. En fait, la C.I.A  avait d'abord été créée par décret présidentiel, en tant que "Groupe Central de Renseignements" pour s'occuper expressément du problème de la présence extranéenne. Par la suite, l'Acte de Sécurité Nationale fut voté et promut ce groupe au titre d'"Agence Centrale de Renseignements". Le "Conseil de Sécurité Nationale" fut établi pour superviser les organes de renseignements et spécialement ceux qui étaient attachés à la question extranéenne. Une série d'ordres et de mémos émanant de ce Conseil libéra, peu à peu, la Commission A des limites  de ce seul domaine et, lentement mais sûrement, finit par "légaliser" son action directe dans les affaires intérieures et extérieures, sous le couvert d'activités quelconques.»   (Milton William Cooper - "Le Gouvernement secret" - Édition Louise Courteau).
Milton William Cooper, ex-agent de la C.I.A., était un homme de Foi, avec un grand sens du Devoir, qui a payé de sa vie pour faire connaître la vérité à ce sujet ; voici ce qu'il dit à la toute fin de son livre:
«Je vous ai livré la vérité telle que je la connais, sans me préoccuper de ce que vous pourriez penser de moi, car je l'ai fait avec le seul souci d'accomplir mon devoir, et peu importe le sort qui pourrait m'être réservé. J'ai maintenant la conscience en paix et, quoi qu'il m'arrive, je n'ai aucune crainte à l'idée de me retrouver devant mon vrai Créateur, le Dieu de nos pères, en Qui je crois, comme ils y croyaient eux-mêmes. Je crois aussi en Jésus-Christ, le Gage de mon Salut. Enfin, je crois à l'esprit de la Constitution américaine que j'ai prêté serment de protéger et de défendre contre TOUS ses ennemis, que ceux-ci viennent de l'extérieur comme ou de l'intérieur, et j'entends bien tenir ce serment.»
C'est à chacun de peser intuitivement si Milton William Cooper a dit vrai ou non.
Un jour ou l'autre, la Lumière révèlera la véritable volonté et la raison de la présence des aliénigènes sur cette Terre. Alors, il faudra se tenir intérieurement prêt à faire face à l'événement.
Quel est le but de ces aliénigènes? Pourquoi restent-ils cachés au grand public? Ont-ils l'intention de se manifester, un jour, avec un plus grand déploiement de force?
Quelle est la véritable raison de l'assassinat de John Fitzgerald Kennedy? Avait-il connaissance de ces informations? Que voulait-il en faire?
Chacun doit peser intuitivement les informations qu'il reçoit pour découvrir où se trouve la vérité. Bon Réveil!

Jean Leduc

 

Épilogue:

Voici, pour terminer, la mention d’un document top secret concernant l'organisation de MJ-12, un comité fondé sur l’initiative d'Eisenhower avec la collaboration de son ami et collègue au Conseil des relations étrangères, Nelson Rockefeller. La raison d'être de MJ-12 et ses objectifs majeurs sont clairement décrits dans ce document extrait de la page du site:
document que vous êtes invités à lire à la page:


[1] Les  organelles».

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