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Un fort Courant,
en provenance
de la Source Originelle
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en provenance
La Partie gros-matérielle tout entière de la Création - incluant
notre Système solaire et notre planète, la Terre - se précipite,
maintenant, au devant d'une effroyable crise et, en un court laps de
temps, va se trouver secouée, par un puissant frisson de fièvre, jusqu'à
ce que tout le malade en elle soit consumé et qu'elle puisse enfin
guérir, sous l'Afflux d'un, nouveau et fort Courant, en provenance de la
Source Originelle.
(Constat à partir de l’Enseignement Universel)
Vers de grandes catastrophes
Les grandes catastrophes déjà survenues interpellent fortement
l’opinion: Tsunami du 26 Décembre 2004, ouragan Katrina de fin Août
2005, nouveaux ouragans déjà annoncés à la suite de celui-là, violents
séismes en tous genres, éruptions volcaniques, inondations, sécheresses,
etc., la Terre, pour un nombre toujours croissant d’êtres humains,
devient toujours plus difficilement habitable…
Toutes ces catastrophes sont toujours ressenties, par l’opinion publique
mondiale, comme terriblement destructrices. Et de bien plus grandes
encore sont annoncées... Pourtant, quelle qu’en soit la cause terrestre,
le Processus qui les active n’est rien d’autre qu’un fort Courant en
provenance de la Source Originelle.
Et ce Courant, envoyé d’En Haut, a pour but de consumer le malade (= non
pas une personne mais ce qui est malade [adjectif substantivé]) en
notre monde gros-matériel terrestre, agissant en suscitant partout un
puissant frisson de fièvre, de sorte que la Guérison puisse, dès lors,
enfin survenir…
Les catastrophes, que nous contemplons non seulement en bas mais d’en
bas, ne sont rien d’autre que des manifestations du puissant frisson de
fièvre guérisseur, et, à ce titre, elles doivent être, oui … saluées!
Seule la résistance offerte par le pathologique, qui s’accroche pour –
vainement – tenter de ne pas disparaître, provoque ce que nous appelons
{des} «catastrophes», mais si les êtres humains ne s’accrochaient pas
tant au faux ils n’auraient pas besoin d’affronter de catastrophes, et
ils salueraient, quel qu’en soit le prix, la disparition du faux – et
donc leur Libération - avec {une} grande Joie!
Car, tout comme pour le corps gros-matériel physique, la fièvre n’est
pas elle-même le mal à combattre mais le signe que le corps lutte pour
combattre le mal en lui. En l’occurrence, il s’agit du corps de
Gaïa-Cybèle (oui, autrefois si belle!), la Terre, qui, tel un chien,
s’ébroue et se secoue, afin de se débarrasser des parasites qui lui
sucent le sang et tentent de demeurer accrochés à sa surface…
Ce qui est décrit ici est, fondamentalement, un Processus spirituel,
mais le profond engourdissement de la majeure partie de cette humanité,
dont le fonctionnement demeure, mille fois hélas, quasi exclusivement
intellectuel, l’empêche d’en prendre conscience.
Ce Processus spirituel a, toutefois, une contre-partie gros-matérielle
terrestre. À vrai-dire, le Processus spirituel est la cause du processus
gros-matériel{lement observable}. En observant ce qui se passe dans la
matière grossière il est alors possible mieux saisir ce qui se passe sur
le Plan spirituel.
Tournons-nous donc vers la matière {la plus} grossière et essayons de comprendre ce qui s’y passe présentement…
Rapport secret du Pentagone
Par exemple, le Pentagone a dit, en 2004, au président américain: «Les changements climatiques vont nous détruire».
Ce rapport secret du Pentagone est le dernier existant sur la manière de
«doucement» préparer l’Amérique et le reste du monde terrestre pour la
venue de ce que certains appellent déjà l’«Harmagedon climatique».
Autrefois, les anciens peuples, qui étaient capables, grâce à
l’Astroclimat, de prédire sa venue, parlaient du «Destructeur». En
réalité, il n’existe pas de «Destructeur»; il existe seulement des êtres
humains qui, en proie à la domination de leur propre intellect,
constamment, dans la recherche de satisfaction immédiate et totale de
tous leurs désirs, sans aucun égard pour les autres, bafouent les Lois
de la Création, aussi appelées Lois de la Nature.
Un Pentagone qui - notons-le - n’utilise pas l’expression de «réchauffement climatique». Mais qu’a donc le président américain derrière la tête lorsqu’il choisit
de ne pas signer le fameux protocole de Kyoto? «Bush émet ses propres
doutes concernant la validité scientifique du réchauffement climatique
dû au CO2, un réchauffement {qui serait} essentiellement causé par
l’homme.»
Au cours des vingt prochaines années, les «changements climatiques» -
aussi appelés «perturbations climatiques» - pourraient provoquer une
catastrophe planétaire coûtant des millions de vies, tant par la guerre,
la famine que les désastres naturels.
Un rapport secret, occulté par les chefs de la défense nationale américaine mais obtenu par la revue «The Observer», avertit que de grandes villes européennes seront bientôt submergées par la montée des eaux.
Le document prédit que les changements brutaux de climat peuvent
conduire la planète au bord de l’anarchie, à un moment où certains pays
supplémentaires en sont à se doter d’armes nucléaires …, ce qui pose la
question de savoir s’ils seraient prêts à les utiliser pour défendre
leur approvisionnement en nourriture, en eau et en énergie. Cette menace
à la stabilité planétaire globale est largement pire que celle du
terrorisme.
Au rythme actuel, toujours selon ce même rapport, en l’an 2020, la
Grande Bretagne aura plongé dans un climat … sibérien! Conflits
nucléaires, méga-sécheresse, famine et grandes émeutes surgiront à
travers le monde. «Les perturbations et les conflits feront partie de la
vie courante», conclut l’analyse du Pentagone. «Une fois encore, la
guerre définira la vie humaine.» …
«Les changements climatiques doivent s’élever au-delà du débat
scientifique et devenir un sujet de préoccupation de la sécurité
nationale» a déclaré Peter Schwartz, consultant à la CIA.
«Un scénario d’imminent changement climatique catastrophique
parfaitement plausible, qui aura comme conséquence de mettre en péril la
sécurité nationale des États-Unis, de telle façon qu’il doit être
attentivement et immédiatement considéré» conclut-il.
«Aussi rapidement que l’an prochain, l’augmentation des inondations aura
comme conséquence d’augmenter le niveau des mers et créera de très
importants dommages atteignant plusieurs milliards à l’échelle
internationale.»
Cette annonce, faite en 2004, s’avère, en Septembre 2005, après les
catastrophiques inondations en Louisiane, Nouvelle-Orléans et Alabama,
suite au passage de l’ouragan «Katrina» et à l’effondrement des digues
protectrices qui en est résulté, des plus interpellantes.
Devant l’immobilisme de la position de la Maison Blanche sur ce sujet,
un groupe de scientifiques de haut niveau se sont rendus à la Maison
Blanche dans le but d’intensifier leur pression pour que le
réchauffement climatique soit considéré comme une haute menace.
Bush n’en demeure pas moins imperturbable quant à ses positions sur le
traité de Kyoto, le qualifiant de «non scientifique» et déclarant que:
«tout le monde sous-estime la position américaine, mais le jury n’a pas
fini de délibérer sur les causes de la crise climatique».
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La conclusion de tout cela?:
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Aujourd’hui, deux des institutions les plus conservatrices du monde, le
Pentagone et la Banque Mondiale, publient le résultat d’études
recommandant une action immédiate visant à contrer les effets du
présumé réchauffement climatique.
Le Pentagone affirme: «La crise climatique représente une menace plus importante que le terrorisme».
La Banque Mondiale, de son coté, affirme: «Le réchauffement climatique requiert une action immédiate».
Récemment, le Financial Times a révélé que la Banque Mondiale rejette
les recommandations de son propre panel d’experts indépendants. La
mission de ce panel d’experts avait pour but de déterminer si les
institutions environnementales, la pauvreté et les droits humains
avaient un impact sur les investissements de la Banque Mondiale dans les
domaines des industries d’extraction du pétrole, gaz, charbon et
métaux.
La recommandation du panel d’experts à la Banque Mondiale était de
cesser ses investissements dans les extractions de carburants fossiles
au cours des huit prochaines années:
«Le Groupe de la Banque Mondiale doit fortement augmenter ses investissements dans les énergies renouvelables jusqu’à atteindre annuellement 20 pour cent. Les prêts de la Banque Mondiale devraient se concentrer sur la promotion d’une transition vers les énergies renouvelables…»
La Banque Mondiale dédie 6 pour cent de ses prêts aux énergies
renouvelables et 94 pour cent à l’extraction de pétrole. En rejetant les
recommandations de ce panel d’experts, la Banque Mondiale vise le
renouvellement de 300 à 500 millions de US $ en prêts annuels pour la
recherche pétrolifère - et donc, de façon présumée, la lente «cuisson»
de notre planète.
Le rapport secret du Pentagone déclare aussi que «les futures guerres
se feront sur des sujets de survie, bien plus qu’au sujet de la
religion, de l’idéologie et de l’honneur national». Il envisage la
nécessité de transformer les USA et les autres pays riches en
forteresses armées contre des vagues de réfugiés en colère déplacé{e}s
par l’augmentation du niveau de la mer ou incapable de faire pousser de
la nourriture et fuyant pour sauver leurs vies.
Le rapport ne prend pas de gants blancs pour désigner la façon d’agir de
la Maison Blanche en écrivant: «Plutôt que devant s’étaler sur des
siècles ou des décennies, les évidences récentes suggèrent que la
possibilité d’un scénario beaucoup plus rapide soit actuellement en
train de prendre place.»
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Le rapport en question avait comme titre: «Développer un scénario
plausible de changement climatique qui puisse être utilisé dans le but
d’explorer ses implications dans l’approvisionnement en nourriture, la
santé et les maladies, le commerce et les échanges commerciaux ainsi que
les conséquences sur la sécurité nationale.»
Voici le scénario plausible issu des "visions" du Pentagone:
«En 2005 l’impact de l’actuel sursaut climatique est beaucoup plus
intensément ressenti dans certaines régions autour du monde. Des orages
plus graves et des ouragans provoquent la subite montée des eaux dans
des territoires peu élevés au-dessus du niveau de la mer telles que
Tarawa.
Des inondations plus hautes dues aux orages dans les îles basses comme Tarawa et Tuvalu (près de la Nouvelle Zélande).
En 2007, une tempête particulièrement sévère, affectant la montée des
eaux, aura pour effet de briser les digues de Hollande, submergeant
quelques cités côtières telles que La Haye. La faible hauteur des îles
du delta de la rivière Sacramento, dans la vallée centrale de la
Californie, a eu pour effet de créer une mer intérieure et en même temps
de briser le système d’aqueducs transportant l’eau potable en
Californie du Sud…. (NDLR - Remarque: En 2013 ces événements ne sont toujours pas arrivés!)
La fonte des calottes glacières et l’augmentation du niveau de la mer
feront que les vagues augmenteront d’intensité et endommageront les
villes de la côte [quelle qu’en soit la cause, ce n’est maintenant plus
de la prédiction mais du déjà arrivé!]. De plus, des millions de
personnes se retrouveront en situation de risque d’inondations autour de
la planète, ce qui, en gros, représente environ quatre fois les
quantités de 2003.
Les changements climatiques affectant la température de l’eau et, par
conséquent, la migration des poissons dans de nouveaux habitats,
occasionneront une diminution abrupte de l’industrie de la pêche,
accroissant les tensions sur les droits de pêches.»
Le Pentagone envisagerait aussi une guerre au sujet des territoires de
pêche entre l’Espagne et le Portugal. Le Pakistan, les Indes et la
Chine, possédant tous l’arme nucléaire, connaîtront des turbulences à
leurs frontières concernant les réfugiés, l’accès aux rivières et aux
terres arables. Le Bangladesh deviendra inhabitable. La sécheresse
frappera de plein fouet le panier à provisions des Américains {sans
parler de celui des autres!]. La température de la Grande-Bretagne
ressemblera à celle de la Sibérie. Les Indes, l’Afrique du Sud et
l’Indonésie seront écartelées par des guerres civiles.
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Un monde bouleversé par les sécheresses, les inondations, les cyclones;
des pays entiers seront devenus inhabitables; Amsterdam, la capitale de
la Hollande sera submergée; les frontières des USA et de l’Australie
seront patrouillées par des gardes armés, tirant sans sommation sur les
vagues de réfugiés désespérés, à la recherche d’une nouvelle terre
d’accueil; des bateaux de pêches seront armés d’un canon pour éloigner
les compétiteurs; des demandes d’accès à l’eau et aux terres de cultures
seront argumentées par des recours aux armes nucléaires. Ce sera le nouvel ordre des barbares …
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Pour finir, les prédictions du rapport démontrent une nette diminution
de la capacité de la planète à pourvoir aux besoins humains, conduisant à
de nettes réductions de la population mondiale due aux famines, aux
pandémies et aux guerres.
De quelle nature est la crise climatique?
Il est à remarquer que Bush ne nie pas qu’il existe une crise climatique
(ce qui témoignerait d’une incroyable négation de l’évidence), il
déclare juste que l’axiome affirmant que l’actuelle crise climatique
serait due aux rejets des ainsi-dénommés «gaz à effet de serre» dans
l’atmosphère n’est pas correcte. Cela indigne tout le monde écologique
bien-pensant, mais serait-il impossible que Bush affirme cela à partir
d’informations inconnues du grand public?
Question: Comment, en effet, le Pentagone a-t-il donc pu mettre
des dates aussi précises sur des prédictions aussi ahurissantes que
celles ci-dessus énumérées? Le simple fait de penser aujourd’hui pouvoir
prédire ce genre d’événements avec une telle précision relève de la
plus grande témérité. Pourtant, de telles assertions témoignent de tout
ce que peut produire comme conclusions une puissante organisation comme
le Pentagone avec toute sa science et la technologie dont il dispose.
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Ce rapport n’a probablement peu à voir avec de hasardeuses simulations
mais se base vraisemblablement sur la survenue d’une série d’importants
évènements climatiques prévisibles, affectant le climat terrestre d’une
façon soudaine, ainsi que sur les dramatiques conséquences en
résultant.
Ces évènements et leurs causes sont bien décrits dans l’astroclimat et le climat extrême.
De là il ressort que la Cause fondamentale activant tout est un Flux de
Rayonnement, dont la Terre, tout comme ses voisines, est de plus en plus
la «cible», un fort Courant en provenance de la Source Originelle, se manifestant, sur le plan gros-matériel, en un puissant flux ionique.
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