"TU NE TUERAS POINT!"
Un film de Mel Gibson
(Sorti en Novembre 2016)
"Tu ne tueras pas" - Film de Mel Gibson
Douze ans après "La Passion du Christ", de nouveau, avec un extrême réalisme, Mel Gibson (qui, en outre, travaillerait actuellement, en 2016, à un film devant mettre en scène la Résurrection du Christ!) réalise un film d'une grande force:
"Tu ne tueras pas!"
Ce film illustre comment un jeune Américain, sincère, fort et courageux a, à l'encontre de tout son entourage (à l'exception de ses parents et de sa fiancée), dans des circonstances fort difficiles, mis en pratique le 5ème Commandement de Dieu.
Lorsque, au cours de la Seconde Guerre mondiale, la base américaine de Pearl Harbour est supposément (le sujet est controversé!) attaquée par les Japonais et que les États-Unis décident alors d'entrer, eux aussi, en guerre, Desmond Doss, un jeune Américain de Virginie, se retrouve confronté à un dilemme de conscience: comme la plupart de ses compatriotes (et, en particulier, comme son frère!), il voudrait, lui aussi, servir son pays sur le front, mais, en tant qu'adventiste, le recours à la violence et à l'usage des armes est incompatible avec sa Foi en Dieu, nourrie par la Bible en tant que support de la Parole Divine. Il refuse déjà de porter une arme, quant à s'en servir pour tuer ses co-êtres humains, c'est, bien évidemment, complètement exclu pour lui.
Lorsque, au cours de la Seconde Guerre mondiale, la base américaine de Pearl Harbour est supposément (le sujet est controversé!) attaquée par les Japonais et que les États-Unis décident alors d'entrer, eux aussi, en guerre, Desmond Doss, un jeune Américain de Virginie, se retrouve confronté à un dilemme de conscience: comme la plupart de ses compatriotes (et, en particulier, comme son frère!), il voudrait, lui aussi, servir son pays sur le front, mais, en tant qu'adventiste, le recours à la violence et à l'usage des armes est incompatible avec sa Foi en Dieu, nourrie par la Bible en tant que support de la Parole Divine. Il refuse déjà de porter une arme, quant à s'en servir pour tuer ses co-êtres humains, c'est, bien évidemment, complètement exclu pour lui.
Il s’engage tout de même dans l’infanterie comme infirmier. Son refus d’infléchir ses convictions lui vaut d’être rudement traité et maltraité par ses camarades de bataillon et sa hiérarchie, qui, du fait de son refus de porter les armes, le considèrent comme un lâche, et tous n'ont qu'un objectif: lui rendre la vie impossible à force de persécutions réitérées, réussir à le faire renoncer et lui faire quitter son unité.
Toutefois, son père ayant, en tant qu'ancien combattant de la première guerre mondiale, pour la circonstance, lui-même ré-endossé son uniforme et obtenu que, en vertu de la constitution, le statut d'objecteur de conscience soit officiellement reconnu à son fils, c’est donc armé de sa seule Foi en Dieu que Desmond entre dans l’enfer de la guerre pour, en accumulant les actes de bravoure (en sauver encore un!), en devenir l’un des plus grands héros.
Toutefois, son père ayant, en tant qu'ancien combattant de la première guerre mondiale, pour la circonstance, lui-même ré-endossé son uniforme et obtenu que, en vertu de la constitution, le statut d'objecteur de conscience soit officiellement reconnu à son fils, c’est donc armé de sa seule Foi en Dieu que Desmond entre dans l’enfer de la guerre pour, en accumulant les actes de bravoure (en sauver encore un!), en devenir l’un des plus grands héros.
Lors de la bataille d’Okinawa, sur l’imprenable falaise de Maeda, il réussit, en effet, à sauver des dizaines de vies (75, pour être précis!) seul, sans armes, sous le feu de l’ennemi, ramenant en sûreté, du champ de bataille situé tout en haut sur la falaise, un à un, 75 soldats grièvement blessés - y compris son adjudant -, autrement perdus.
Mais, demande un soldat américain contemplant tous les blessés arrivés sous la tente de l'hôpital militaire en toile de tente, qui a donc, sous le feu nourri des "Japs", accompli ces impressionnants exploits de ramener tous ces hommes blessés?, c'est, tout simplement, lui et lui tout seul, "Doss, le lâche"!!!
Une très grande leçon de vie, de courage et de conviction! Et l'éclatante démonstration qu'il vaut mieux obéir à Dieu qu'aux hommes!
Tout comme les scènes de torture et de crucifixion dans "La Passion du Christ", les scènes de guerre dans le film "Tu ne tueras pas!" sont d'un réalisme à peine soutenable (âmes sensibles, s'abstenir!), mais la violence n'est ici nullement "gratuite", la guerre est juste montrée comme elle est, dans la réalité, avec toute son horreur, même si, le deuxième jour de guerre, l'effet de la musique et l'usage du ralenti donnent aux scènes d'atrocité une apparence quasi-irréelle...
La morale du film est très simple à dégager: La force de la conviction individuelle, le courage personnel et la Volonté de faire prévaloir la Volonté Divine seront toujours victorieux par rapport au conformisme des masses et forceront toujours le respect et l'admiration.
Un film qui en fera réfléchir plus d'un...
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Pour approfondir:
Une très grande leçon de vie, de courage et de conviction! Et l'éclatante démonstration qu'il vaut mieux obéir à Dieu qu'aux hommes!
La morale du film est très simple à dégager: La force de la conviction individuelle, le courage personnel et la Volonté de faire prévaloir la Volonté Divine seront toujours victorieux par rapport au conformisme des masses et forceront toujours le respect et l'admiration.
Un film qui en fera réfléchir plus d'un...
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